Thierry Rapicault

Né le :20 février 1957

Photos Maurice Hollemaert et Manfred Mothes

http://www.highsider.com/textlager/france_textlager/Rapicault.htm

Vainqueur de la Coupe Yamaha en Coupe de Marques en 1981, Thierry Rapicault tentera une première expérience en mondial de vitesse pure lors de son Grand Prix national lors de sa saison 1982 en catégorie 250cc au guidon d'une Yamaha, mais en vain.

Il courre en championnat d’Europe 250cc et décrochera le titre de Vice champion en 250cc, terminant à une brillante seconde place en France, 6e en Allemagne, 4e en Belgique à Mettet, sur la troisième marche du podium en Angleterre et sera deuxième en Hollande. 

En 1983 il intègre le team Sonauto Gauloises, ce sera sa meilleure saison, au guidon de sa Yamaha TZ 250cc. Il va obtenir une brillante 3e place lors du Grand Prix de France 250cc, une 9e place en Afrique du Sud. Ensuite il sera 7e en Italie, 22e en Allemagne, 13e en Yougoslavie et en Belgique et finira la saison par une 8e place en Angleterre pour se classer à une 14e place au classement général du championnat du monde des 250cc au côté de Christian Sarron. 

Il restera dans cette catégorie 250cc jusqu'en 1985 toujours sur Yamaha, pour terminer en 29e position du championnat lors de la saison 1984. Il chutera pourtant dés les deux premiers grands - prix en Afrique du Sud et en Italie. Ensuite il se classera 12e en France, 10e en Belgique, 16e en Angleterre et terminera avec une 19e place au San Marin. 

En 1985, il sera classé à la 32e position du championnat, récoltant un point avec sa 10e place obtenue en Allemagne.  

En 1987, Il passera en catégorie reine, au guidon de la 500cc Fior à moteur Honda. Il  décrochera une 13e place au GP d'Espagne et ne parviendra pas à se qualifier au San Marin.

En 1988, il roulera en 250cc au guidon d'une Fior du team SNCF, avec laquelle il va terminer 17e en Espagne, 16e au Portugal, ne sera pas au départ en Italie, n'ayant pu se qualifier. Il partira en pôle en Allemagne mais ne parviendra pas à passer le drapeau à damier, et subira ensuite une série de 5 grands Prix en n'effectuant que les essais.

Texte Serge Frocheur